Cindy Ouellet et Nik Goncin nommés à l’Équipe Toyota par Toyota Canada

(Toronto, Ont.) Alors que les pays du monde entier se préparent en vue des Jeux olympiques et paralympiques de Tokyo 2020, Toyota Canada accueille 10 athlètes canadiens inspirants au sein de l’« Équipe Toyota ».

Les athlètes de basketball en fauteuil roulant Cindy Ouellet et Nik Goncin sont parmi les athlète nommés à l’équipe.

« Nous sommes ravis d’accueillir 10 athlètes canadiens exceptionnels au sein de l’Équipe Toyota, et nous sommes fiers de les soutenir dans leur parcours individuel », a déclaré Cyril Dimitris, vice-président de Toyota Canada Inc. « Chacun de ces athlètes inspirants a dû surmonter des obstacles pour atteindre l’excellence sportive au plus haut niveau, et nous espérons que leurs histoires inspireront d’autres Canadiens à conquérir leurs propres défis. »

Avant les Jeux olympiques et paralympiques d’hiver 2018, Toyota a créé  « Réalisez l’impossible », une campagne internationale qui présente les histoires d’athlètes inspirants du monde entier.

« Atteindre le niveau de compétition paralympique et olympique est un long et difficile parcours pour chaque athlète, et cela n’est possible que grâce au soutien des amis et de la famille, ainsi qu’à la contribution d’entreprises comme Toyota Canada », a confié Benoît Huot, nageur paralympique canadien retraité depuis peu et membre de l’Équipe Toyota. « Au nom de tous les athlètes de l’Équipe Toyota, nous sommes reconnaissants de cet important soutien alors que nous nous préparons à représenter le Canada sur la scène internationale. »

Voici la liste des athlètes canadiens qui font partie de l’Équipe Toyota :

Melissa Bishop (Athlétisme – 800 m)

Melissa a dû faire face à de nombreuses blessures, mais chaque fois, elle est revenue encore plus forte. En vue des Jeux de 2020, elle devra relever le plus grand défi de sa carrière : retrouver la meilleure forme de sa vie après avoir donné naissance à sa fille. Peu d’athlètes féminines retrouvent le succès lorsqu’elles reprennent la compétition après une grossesse. Melissa compte bien prouver que c’est possible. « Je veux surprendre tout le monde », dit-elle. Elle espère que son retour inspirera d’autres mamans et futures mamans. Cette double olympienne a participé aux Jeux de Londres (2012) et de Rio (2016). Elle a également remporté des médailles en compétition internationale, dont une d’or aux Jeux panaméricains de Toronto (2015) et une d’argent aux Championnats du monde d’athlétisme de Pékin (2015).

Ellie Black (Gymnastique artistique)

À 23 ans, Ellie Black est au sommet de sa discipline dans un sport qui est habituellement dominé par des adolescentes. Comme elle le dit elle-même : « C’est incroyable ce que l’on peut accomplir quand on se fixe un objectif. Et les capacités du corps humain sont extraordinaires. » Déjà deux fois olympienne, Ellie vise encore le podium aux Jeux de 2020. Lorsqu’elle ne s’entraîne pas, Ellie consacre son temps à des organismes comme Fast and Female, qui encourage les jeunes femmes à réaliser leur potentiel à travers le sport. Ellie a participé aux Jeux de Londres (2012) et réalisé la meilleure performance olympique dans l’histoire canadienne de son sport à Rio (2016).

Cody Caldwell (Rugby en fauteuil roulant)

L’histoire de Cody Caldwell illustre parfaitement la capacité du sport à changer les vies en aidant les gens à réaliser leur potentiel.  Après un accident de plongeon à 20 ans, Cody s’est retrouvé quadriplégique et, en ses propres mots, « fragile comme du verre ». C’est par hasard qu’il a découvert le rugby en fauteuil roulant. Il a intégré l’équipe paralympique en 2013 et ne l’a plus quittée depuis. Il était membre de l’équipe médaillée d’or aux Jeux parapanaméricains de Toronto (2015) et il a participé aux Jeux paralympiques de Rio (2016).

Stefan Daniel (Triathlon)

Stefan Daniel est né avec une main bote radiale bilatérale, soit un bras droit beaucoup plus court que le gauche. Cela ne l’a pas empêché de devenir l’un des meilleurs triathloniens au monde. À 16 ans, il a gagné le bronze à sa première participation aux Championnats du monde de paratriathlon. Il a ensuite remporté l’argent en 2014, l’or en 2015 et, à seulement 19 ans, la médaille d’argent aux Jeux paralympiques de Rio 2016.

Nik Goncin (Basketball en fauteuil roulant)

Nik Goncin et sa famille se sont installés au Canada à titre de réfugiés après avoir fui la guerre. En plus de devoir apprendre une nouvelle langue et une nouvelle culture, Nik a perdu une jambe à la suite d’un cancer des os en 11e année. « Avant mon cancer, j’étais très sportif. Me retrouver maigre et handicapé a été une épreuve très difficile », raconte-t-il. « Le sport a été une des composantes principales de ma rééducation. En particulier le basketball en fauteuil roulant. Sélectionné dans l’équipe nationale en 2009, il en est aujourd’hui une des vedettes. Nik a été élu Athlète junior de l’année en 2014, et a représenté le Canada aux Jeux paralympiques de 2016.

Benoît Huot (Paranatation)

Né avec un pied-bot et passionné de sport, Benoît a trouvé sa vocation dans la piscine. Tout au long de sa carrière, son énergie et son enthousiasme ont inspiré ceux qui le côtoient. Aujourd’hui retraité de la compétition, Benoît est un ambassadeur du sport paralympique. Il joue le rôle de mentor auprès de jeunes athlètes dans le cadre de son travail pour plusieurs organismes de bienfaisance. Et la fondation qu’il a créée recueille des fonds et inspire les enfants handicapés pour les aider à réaliser leurs rêves paralympiques. Benoît est l’un des athlètes canadiens les plus décorés. En cinq participations aux Jeux paralympiques,il a remporté 20 mmédailles, dont neuf d’or. Il a également gagné 32 médailles en compétition internationale.

Tory Nyhaug (Cyclisme – BMX)

Tory Nyhaug a dû surmonter de nombreuses blessures, mais aujourd’hui, il fait partie de l’élite de sa discipline. Ce double olympien – dont une place de finaliste en 2016 – est médaillé d’argent aux Championnats du monde et médaillé d’or aux Jeux panaméricains. Désormais, il vise l’or olympique. Outre ses blessures physiques, Tory souffre parfois de problèmes de santé mentale. Il est ainsi un ardent défenseur des bonnes méthodes de récupération après des blessures et il aide les gens à surmonter les problèmes de santé mentale.

Cindy Ouellet (Basketball en fauteuil roulant et Ski paranordique

Le parcours de Cindy Ouellett est marqué par sa détermination et son désir d’améliorer la mobilité pour les autres. Lorsqu’on lui a diagnostiqué un cancer des os à 12 ans, ses chances de survie étaient d’à peine 5 %. Mais Cindy a vaincu la maladie. À l’école secondaire, Cindy a encore démontré sa force de caractère. Victime d’intimidation, elle a fait sienne la devise « Carpe Diem » (profiter de l’instant présent). Cindy est une source de motivation pour les autres en les inspirant et les éduquant sur l’importance du sport. Cindy a été élue athlète de l’année dans son sport à quatre reprises. Elle a participé à quatre éditions des Jeux paralympiques, dont trois d’été, et une d’hiver (2018).

Aurélie Rivard (Paranatation)

Née avec une main gauche sous-développée, Aurélie n’a jamais laissé son handicap limiter son potentiel. Des attaques de panique et l’intimidation qu’elle a subie dans sa jeunesse ont eu des répercussions importantes, comme une faible confiance en soi, une anxiété dévastatrice et la dépression. Pendant qu’elle continue à combattre ces démons, son succès dans la piscine, combiné au soutien de sa famille, lui donne la force et la confiance d’une championne. Aurélie, l’une des plus grandes athlètes paralympiques au monde, continue de pulvériser les records mondiaux en chemin vers les Jeux de Tokyo. Elle est aussi porte-parole du mouvement para-olympique et de la santé mentale, et raconte son histoire avec enthousiasme et confiance. Aurélie est déjà double paralympienne. Elle a remporté trois médailles d’or et une médaille d’argent aux Jeux de Rio (2016) ainsi qu’une médaille d’argent aux Jeux de Londres (2012).

Erica Wiebe (Lutte)

Avant d’arriver au sommet, Erica a aussi connu des bas. Dans sa première année de lutte à l’université, elle n’a pas marqué un seul point à l’entraînement. Son ambition de devenir la meilleure semblait alors un rêve perdu. Mais elle s’est accrochée, et sa résilience a fini par payer. Aux Jeux de Rio 2016, elle a remporté la médaille d’or. Elle a également remporté la médaille d’or aux Jeux du Commonwealth en Australie (2018) et à Glasgow (2014). Erica est passionnée par la capacité du sport à favoriser le changement social. Elle s’efforce aussi de faire tomber les barrières entre les sexes dans le sport et d’encourager l’égalité des chances pour tous.

Pour en apprendre davantage sur l’équipe de Toyota et les activités de Toyota en tant que partenaire mobilité officiel des Jeux olympiques et paralympiques, cliquez ici.

À propos de Toyota Canada Inc.

Toyota Canada Inc. (TCI) est le distributeur canadien exclusif des véhicules Toyota et Lexus. Toyota a vendu plus de 8 millions de véhicules au pays, par l’entremise d’un réseau de 287 concessionnaires Toyota et Lexus. Toyota s’engage à fournir aux automobilistes canadiens des véhicules réputés pour leur sécurité, leur qualité, leur durabilité et leur fiabilité, et à leur offrir un service de qualité. Le siège social de TCI est situé à Toronto et l’entreprise a aussi des bureaux régionaux à Vancouver, Calgary, Montréal et Halifax, et des centres de distribution des pièces à Toronto et Vancouver. Toyota exploite deux usines de production au Canada. Ces usines ont déjà produit plus de 8 millions de véhicules, parmi lesquels des modèles très appréciés des consommateurs canadiens, comme le Toyota RAV4, le Toyota RAV4 hybride, et les Lexus RX 350 et RX 450h hybride. À la suite des récents investissements injectés par Toyota dans ses installations de l’Ontario, la production des très populaires modèles Toyota RAV4 et RAV4 hybride va s’intensifier. Pour plus de renseignements, veuillez visiter toyota.ca.

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