L’analyste de performance de BFRC, âgé de 29 ans, est également un entraîneur adjoint de l’équipe nationale féminine senior et de l’équipe des moins de 25 ans

Le rôle d’entraîneur est toujours venu naturellement à Dylan Carter. Pendant qu’il grandissait, il a passé un été à aider un voisin, un joueur de basketball universitaire, à améliorer son lancer.

« Je me souviens d’avoir juste modifié son lancer, parce qu’il n’arrivait pas à le faire », se rappelle Dylan. « J’ai toujours été plus naturellement enclin du côté des entraîneurs. Comme on dit, ceux qui ne peuvent jouer entraînent et j’étais plus un entraîneur naturel ».

Le natif de Scarborough, en Ontario, a joué au baseball de façon compétitive, jusqu’à l’école secondaire, et a pratiqué un peu de tout, du soccer au football et au hockey avec des amis. Le sport représentait beaucoup pour la famille Carter, qu’il s’agisse de se réveiller en entendant le SportsCentre ou de planifier des vacances d’été autour d’événements sportifs.

Par conséquent, au moment de choisir un cheminement de carrière, Dylan s’est fait un devoir de rester impliqué dans le sport.

« J’ai toujours eu une façon de rester impliqué dans le sport », a fait remarquer Dylan. « Ma dernière année à l’école secondaire et mes deux premières années d’université, j’ai fait un stage à TSN en marketing et communications – j’ai toujours été impliqué dans le sport de quelque façon. Donc, c’était une direction dans laquelle je voulais toujours aller. »

À l’Université de Toronto, où il s’est spécialisé en sciences politiques et en sociologie, Dylan a fait un stage à Basketball en fauteuil roulant Canada. Il était à la recherche d’une occasion d’emploi, durant l’été de 2014, lorsque Mike Frogley l’a embauché comme assistant en vidéo et analyse.

En 2016, Dylan a rédigé son examen final, reçu son diplôme, et a accepté un rôle à plein temps à BFRC.

« L’une des choses que Frog voulait vraiment, c’était plus de vidéo et plus de travail d’analyse », a déclaré Dylan. « Être l’analyste de performance pour BFRC a un peu marqué mon début. J’ai toujours aimé le côté analytique du sport, j’aimais la stratégie et en décomposé les éléments, quel que soit le sport. J’ai toujours aimé aller plus loin que le partisan moyen et j’ai donc été intrigué. »

« À partir de là, avec Frog, il y avait des moments où il devait organiser des réunions ou quelque chose arrivait et j’étais là pour aider à tenir une séance d’entraînement ou deux, alors j’ai eu un avant-goût de l’entraînement. »

À l’approche de sa neuvième année à BFRC, Dylan a ajouté le rôle d’entraîneur adjoint de l’équipe nationale féminine senior et de l’équipe féminine des moins de 25 ans, pour aller de pair avec ses fonctions d’analyste de performance. Il est également l’entraîneur de basketball en fauteuil roulant féminin de haute performance de l’ONPARA.

À court terme, Dylan, âgé de 29 ans, s’efforce d’aider l’équipe nationale féminine senior à avoir une performance couronnée de succès, au prochain Championnat du monde de l’I.W.B.F., à Dubaï.

À long terme, Dylan s’efforce d’aider les athlètes à s’améliorer sur le terrain, tout en ayant du plaisir.

« Je crois vraiment qu’il faut simplement créer un environnement divertissant et sécuritaire. Un environnement où les gens sont prêts à prendre des risques et à échouer », a-t-il déclaré. « Je pense que pour réussir, vous devez apprendre de vos erreurs, mais vous devez être à l’aise de les commettre. Les gens s’exercent toujours et s’inquiètent de faire des erreurs ou de ne pas prendre de risques durant l’entraînement, alors vous n’allez pas repousser les limites et vous ne serez pas en mesure de vous améliorer. »

« Je pense qu’il est toujours important de le faire et de créer un environnement sécuritaire, qui permet à un athlète, un autre entraîneur ou un membre du personnel de se sentir à l’aise de faire ces erreurs. C’est quelque chose que j’ai appris d’autres entraîneurs et qui j’estime m’a aidé, c’est donc important pour moi. »